Peu de temps après être revenue d'un voyage d'affaires à Hong Kong, Beth Emhoff meurt d'un virus inconnu. Quelques jours après, ce sont des centaines de milliers d'autres humains qui disparaissent à leur tour. Alors que les scientifiques du monde entier s'engagent dans une course contre la montre pour freiner l'épidémie avant qu'il ne soit trop tard, le chaos s'empare des villes et des hommes. Pour survivre, les uns pillent les magasins désertés, les autres s'isolent, toujours en espérant toujours pour le mieux, cela même si les cadavres continuent de s'empiler à un rythme effarant, et que les solutions tardent à venir...
While setting a milestone in the progress of digital filmmaking, Sky Captain and the World of Tomorrow resurrects a nostalgic fantasy world derived from a wide variety of vintage inspirations. It's a dazzling dream for anyone who appreciates the look and feel of golden-age sci-fi pulp magazines, drawing its unique, all-digital design from such diverse sources as Howard Hawks adventures, Fritz Lang's Metropolis, Buck Rogers, Blackhawk comics, The Third Man, cliffhanger serials, and the action-packed Indiana Jones franchise. Writer-director Kerry Conran's feature debut is also guaranteed to inspire digital dreamers everywhere, suggesting a paradigm shift in the way CGI-dominated movies are made. It's a giddy adventure for the young and young-at-heart, in which ace pilot Sky Captain Joe Sullivan (Jude Law) and intrepid reporter Polly Perkins (Gwyneth Paltrow) must save the world from a mad scientist whose vision of the future has tragic implications for all humankind. Angelina Jolie drops in for a glorified cameo, but it's the ultra-fortunate neophyte Conran who's the star here. His clever riff on The Wizard of Oz is a marvel to behold, and the method of its creation is nothing less than revolutionary.
kubrick-spielberg, quelle affiche ! réalisé par steven spielberg, rêvé par stanley kubrick, intelligence artificielle - a.i. en vo - constitue l'exact trait d'union entre les univers de ces deux monstres du cinéma. relecture de pinocchio sous un angle sf, a.i. est un projet sur lequel stanley kubrick travailla pendant vingt ans, avant que steven spielberg le mène à bien à la mort du réalisateur de shining. mal reçu par le public et la critique à sa sortie, le film mérite largement d'être redécouvert chez soi. pour en apprécier d'abord tout l'aspect technique et l'apport incontestable des effets spéciaux : la découverte de new york engloutie demeure un des temps forts de cette ?uvre. ensuite, pour repérer le double apport visuel et thématique des deux réalisateurs : la valse viennoise, la société futuriste et ses rapports à la technologie, le personnage de gigolo joe rappellent l'univers glacé et inhumain de l'auteur de 2001 et orange mécanique ; le titre - qui évoque e.t. - la musique de john williams, la quête ?dipienne de la mère, le combat du bien et du mal, l'amitié d'un enfant et d'un adulte rappellent irrésistiblement combien l'auteur de la liste schindler et de l'empire du soleil est bel et bien aux commandes. au total, donc, une ?uvre que l'on a pu qualifier d'hybride, mais que la patine du temps placera au rang des plus grands films d'anticipation. --sylvain lefort
En 1930, deux pères : Michael Sullivan, un tueur professionnel au service de la mafia irlandaise dans le Chicago de la Dépression, et Mr. John Rooney, son patron et mentor, qui l'a élevé comme son fils. Deux fils : Michael Sullivan junior et Connor Rooney, qui font chacun des efforts désespérés pour s'attirer l'estime et l'amour de leurs géniteurs.
La jalousie et l'esprit de compétition les plongent dans une spirale de violence aveugle dont les premières victimes sont la femme de Sullivan et son fils cadet Peter.
Un long voyage commence alors pour Michael Sullivan et son fils survivant. Au bout de cette route, la promesse d'une vengeance et l'espoir de conjurer l'enfer. Et peut-être l'aube d'un sentiment nouveau entre un père et son fils.